18 heures. On l'attend. Ben arrive enfin au MUR d'Oberkampf et signe... l'oeuvre du jour, et il la date : 2012 - micro, caméra et appareils photo. Tout le monde est là. C'est que c'est un ancien du street art. Ne lui doit-on pas le "Méfions-nous des mots" qui domine Belleville, du haut de l'échaffaudage.
Ensuite nous partons rue de Picardie qui regorge de galeries. Nous cherchons Kouka. Bon nous voilà chez Warhol. Nous apprécions, mais ce n'est pas ça. Celle d'à côté non plus. Mais les verres sont les mêmes. Ah oui, trois petites galeries, trois expositions différentes, mais même gestion. Enfin nous voilà chez Kouka. Toujours le même style, mais là, pas de vanités (j'en suis fort aise) mais l'écriture. L'écriture sur les visages, l'écriture qui aide à transmettre. Positif. ça oui. Et c'est beau.
Détail